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What Really Matters! - Page 7

  • Innovation : comment détecter le plus vite possible les meilleures idées

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    visages.jpgLe dernier dossier de Market Research News porte sur le screening d'idées.

    A cette occasion, Franck Saunier (Directeur Recherche & Innovation de Repères) et moi-même avons pu évoquer nos recherches en cours sur l'intégration du non verbal dans les tests d'idées et de concepts.

     



    Voici la retranscription de notre interview menée par Thierry Semblat (*) :

    Thierry semblat : Pourquoi reste-t-il aussi difficile de détecter les meilleures idées d’innovation ?

    Franck Saunier et François Abiven : Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet, mais nous sommes convaincus que cela tient au moins en partie aux limites des méthodes traditionnelles d’études. Dans notre vision des choses, Il y a un en particulier un réel intérêt - si ce n’est un impératif - à dépasser le déclaratif du consommateur, et à intégrer le rôle clé des émotions et des réactions inconscientes dans ses prises de décision. Nous sommes persuadés de l’intérêt majeur des travaux et des réflexions associés à l’économie comportementale, avec des Dan Ariely ou Daniel Kahneman, qui ont démontré le caractère irréaliste du paradigme de l’homo economicus, cet être qui établirait ses choix selon une parfaite rationalité. La métaphore du « système 1 / système 2 » développée par Daniel  Kahneman nous paraît puissante, et constitue un référent essentiel dans les travaux de recherche et développement que nous menons sur ces enjeux.

    Peut-on expliciter cette métaphore en quelques mots ?

    Bien sûr. Cette métaphore est utilisée par Kahneman pour décrire le fonctionnement de notre cerveau face à une décision, qui repose sur la mise en action de deux systèmes. Le système 1 correspond à la première réaction que nous avons face à un stimuli, qui peut être la rencontre d’une personne, ou la découverte d’un produit ou même d’une idée. C’est une réaction émotionnelle, immédiate et rapide. C’est notre instinct ou notre apprentissage qui s’exprime. A la suite de cette première réaction et si nous devons prendre une décision, nous passons en mode « système 2 », qui est celui de la pensée rationnelle, consciente, qui est à la fois plus lente et plus couteuse en énergie cognitive. Très clairement, les protocoles classiques d’études se focalisent sur le système 2, alors qu’il est essentiel à notre sens de s’intéresser aux deux systèmes. Cela constitue un axe de recherche majeur pour nous, en particulier avec l’analyse des comportements non verbaux.

    Vous êtes en train de développer de nouveaux protocoles d’études qui intègrent cette analyse du « non-verbal ». Pouvez-vous nous en dire plus sur les expériences que vous avez réalisées ?

    Nous menons effectivement différentes expériences, dans un processus global qui est assez avancé puisque il doit nous permettre de proposer de nouvelles approches d’ici la fin de ce semestre. Ces expériences portent sur différentes natures d’objets à tester, à différents stades du processus d’innovation. On peut être au stade de l’idée, du concept, ou de l'objet, en passant par des produits un peu particuliers que sont les parfums. En  ce qui concerne les concepts, nous accompagnons AgroParisTech dans un programme de recherche important avec l’ANR (Agence Nationale de la Recherche), qui porte sur l'analyse des leviers relatifs à la consommation en Alimentation Durable. 

    En pratique, comment mettez-vous en œuvre cette analyse des comportements non verbaux ?

    Le principe est en fait très simple. Cela s’intègre dans un cadre assez traditionnel, avec une interrogation on-line et un questionnaire en apparence assez classique. Mais dès la première phase du questionnaire, au moment même où nous présentons l’idée à tester, nous « capturons » l’image de l’interviewé via la web-cam de l’ordinateur, avec les expressions de son visage, ses gestes, tout ce qui est donc non-verbal, avec les surprises que cela réserve parfois ! Cet enregistrement a donc bien lieu avant même que la personne ne verbalise quoi que se soit au sujet de l’idée testée, pour bien appréhender ainsi son impression première. Et c’est à l’analyse que nous décodons ces expressions à l’aide d’une grille spécifique, pour caractériser l’attitude de la personne vis à vis de l’idée en question, selon une échelle en 4 points, qui va de l’adhésion au rejet, en passant par le simple intérêt et la neutralité.

    Pourquoi utilisez-vous une grille spécifique ?

    A l’expérience, nous nous sommes rendus compte que la fameuse grille de Paul Eckman (2) n’était pas opérante pour tester des idées, des concepts ou des produits. Elle ne présente pas la finesse souhaitable, même si elle semble en revanche mieux fonctionner dans le cadre des tests publicitaires puisque elle a été adoptée par Millward Brown.

    Cette grille de lecture est-elle si simple à utiliser ? Tout le monde ne s’exprime pas de la même façon…

    Tout à fait, mais notre conclusion est bien qu’il est tout à fait possible de définir un répertoire permettant d’associer les différents signes émis avec l’attitude globale du répondant. Cela nécessite néanmoins bien de « caler » la grammaire propre à l’univers étudié. Il est clair qu’une lecture « mécanique » ne fonctionne pas ; et il impossible de faire autrement que de confier l’interprétation à des codificateurs spécifiquement formés. En pratique, nous procédons à une double codification, avec un arbitrage lorsque l’attitude de l’interviewé n’a pas été interprétée de la même façon. Pour l’instant, les interprétations convergent dans près de 80% des cas, et ce taux augmente au fur et à mesure de notre expérience, qui nous permet d’améliorer les grilles de lecture.

    Selon quelle forme l’idée est-elle présentée ?

    C’est une question sur laquelle nous avons passé un peu de temps, donc cela reste pour l’instant un petit secret de fabrique !

    Quels sont les autres éléments du questionnaire ?

    Après exposition de l’idée, nous posons une question ouverte, qui nous permet d’enregistrer les associations spontanées. Au fond, l’idée est d’aller jusqu’au bout de ce principe général, qui consiste à saisir ce qu’il y a de plus spontané, inconscient chez le consommateur. Et en l’occurrence, ces associations permettent de qualifier les émotions en jeu avec une précision et une richesse réellement confondante. C’est seulement après cela que nous abordons un registre plus déclaratif, avec des questions d’agrément, et éventuellement le degré d’association des idées à des items spécifiques.

    Vous maintenez donc l’usage du déclaratif. Quel est le niveau de corrélation entre ce que dit l’interviewé via son déclaratif, et ce qu’il exprime par le non-verbal ?

    La corrélation verbal – non verbal est relativement forte lorsqu’on teste des produits, avec néanmoins à chaque fois une meilleure discrimination par le non verbal et l’identification de quelques produits qui fonctionnent différemment selon un des deux registres ; La corrélation est en revanche relativement faible lorsqu’on teste des idées. Et c’est bien là qu’est tout l’intérêt de cette double mesure : il y a bien un complément d’information essentiel. Le non-verbal permet de mesurer le pouvoir d’accroche d’une idée, l’impact qu’elle aura. Alors que le déclaratif permet lui de mesurer ce qui se passe dans la tête des gens lorsqu’ils analysent les choses et prennent un certain recul. C’est bien cohérent avec la « vraie vie » : on peut être séduit par une idée de produit, et puis se dire dans un second temps qu’il n’est pas très adapté à son cas personnel. Avec cette double évaluation, on obtient ainsi une matrice de lecture où les quatre quadrants sont potentiellement remplis. On repère clairement les super-idées, bien évaluées à la fois sur le plan rationnel et émotionnel. On peut « repêcher » des idées qui auraient été rejetées avec les protocoles classiques, dont la valeur émotionnelle est intéressante, et qu’il faut sans doute retravailler pour éliminer les freins qui apparaissent au moment de la rationalisation. Et on identifie aussi des idées que ces mêmes protocoles classiques auraient fortement primées, mais qui présentent néanmoins un risque important, en ce sens qu’elles manquent de valeur d’accroche. Celle-ci peut parfois être optimisée, mais il y a aussi des idées qu’il faut savoir abandonner ! Mais au global, et c’est bien le point important, on en arrive à des recommandations réellement différentes de celles que l’on aurait données en ne s’appuyant que sur l’évaluation rationnelle.

    J’imagine qu’il est encore trop tôt pour apprécier la valeur prédictive de cette évaluation non-verbale sur le succès réel des produits… Voyez-vous d’autres avantages importants associés à ce principe d’évaluation ?

    Il y a un avantage majeur par rapport à la problématique que vous soulevez, à savoir que ce type de protocole est parfaitement opérant pour évaluer des idées très tôt, à un stade où s’agit bien d’une idée, donc avant que l’on soit au stade du concept et à fortiori du produit. 

    L’évaluation qui repose sur le non-verbal a également l’immense avantage de bien discriminer les pistes, mieux que ne le permet l’évaluation rationnelle, pour laquelle on se retrouve assez régulièrement avec des écarts de notation non significatives. Et il faut signaler enfin que cette approche permet d’identifier des répondants qu’il est préférable d’écarter, et qui se distinguent par une incohérence flagrante entre leurs comportements et leurs dires. Il y a bien sûr quelques tricheurs ou des plaisantins. Mais il y à aussi des personnes qui évaluent les produits avec une logique d’expert : ils s’expriment, mais sans se projeter dans une logique d’achat potentiel. Il est préférable donc de ne pas tenir compte de leurs réactions.

    On peut ajouter enfin que cela permet de mettre en place des questionnements qui sont plutôt agréables pour les consommateurs, sans ces batteries fastidieuses de questions. Pas conséquence, cela permet aussi de screener un nombre assez important d’idées, jusqu’à sept ou huit par exemple.

    En termes de coût de mise en œuvre, ces études-là sont elles plus chères comparativement aux protocoles classiques ?

    Ce sont des éléments qui doivent encore être affinés. Mais notre ligne directrice a été à la fois d’intégrer ce paramètre « coût » très tôt, et aussi de prendre tout le temps nécessaire pour dégager les meilleures options à la fois sous l’angle de la fiabilité et de la faisabilité économique. Cela implique la nécessité de tâtonner, et de faire beaucoup d’expériences, nos recherches sur ce sujet ayant démarré il y a maintenant plus de quatre ans. Mais en tout état de cause, les coûts associés à ce type d’études ne devraient pas être significativement plus élevé que ceux des approches plus traditionnelles.


    (*) Ce texte est reproduit avec l'autorisation de Marketresearchnews. Vous retrouverez sur le site les autres interviews du dossierPascale Dor (Id View), Michael Bendavid et Diouldé Chartier-Beffa (Strategic Research / D’Cap Research)

  • Système 1 / Système 2 et Etudes marketing

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    thinkfast.jpgLa nécessité de dépasser le déclaratif du consommateur est maintenant bien identifiée comme un des enjeux fondamentaux pour les études marketing : un consensus s'est établit sur le rôle clé des émotions et des réactions inconscientes dans la prise de décision.

    Les travaux fondateurs de Antonio R. Damasio sur ce sujet ("L'erreur de Descartes" - 1995)  se sont vu confirmés et enrichis par les récents développements de l'économie comportementale. Des auteurs comme Dan Arriely ("Predictably Irrationnal" - 2010) et Daniel Kahneman ("Thinking, fast and slow" - 2012) ont démontré le caractère irréaliste du paradigme de "l'homo economicus", homme rationnel qui établi ses choix avec pour seul objectif la maximisation de son utilité individuelle, ce en pleine connaissance des offres disponibles et indépendamment des comportements de ses pairs.  

    La métaphore "système 1 / système 2" utilisée par Daniel Kahneman est particulièrement puissante pour décrire le fonctionnement de notre cerveau face à une décision :

    . Le système 1 est celui mise en oeuvre de manière automatique, inconsciente et sans nécessité d'effort particulier (pilotage automatique), c'est par exemple lui qui vous permet de répondre à la question "2+2 = ?". Nous sommes ici dans le registre de l'émotionnel, des marqueurs somatiques décrits par Damasio qui sont forgés par l'instinct et par l'expérience.

    . En revanche, si l'on vous demande de répondre à la question "235 + 4 195 = ?", vous allez devoir actionner le système 2, qui est celui de la pensée consciente, plus lente et plus coûteuse en énergie cognitive, ce qui explique que nous sommes souvent réticents à le mettre en action. Daniel Kahneman évoque ainsi "notre système 2 paresseux" (combien d'entre vous ont fait l'effort de calculer 235+4195 ?), qui a pourtant le rôle essentiel de valider ou d'invalider les choix émis par le système 1. 

    Une compréhension fine du consommateur nécessite donc d'appréhender ces deux systèmes. Si le système 2, qui est du domaine de la rationalisation, peut s'approcher classiquement par une procédure d'interrogation, en revanche les réactions du système 1 se font le plus souvent à l'insu du sujet et celui-ci ne pourra s'exprimer validement sur ce processus.

    Les études qualitatives, par leur caractère projectif, ont permis depuis toujours de dépasser le discours rationnel. En revanche, il s'agit d'un véritable challenge pour les études quantitatives, plus enclines à se  limiter à un questionnement traditionnel.  

    A Repères nous nous sommes positionnés depuis plusieurs années sur ce champ d'investigation qui vise à accéder et à quantifier la part émotionnelle et inconsciente du consommateur, ainsi :

    . La méthode Emotional Monitoring, qui utilise des tests projectifs administrés à un grand nombre de répondants,  vise à déterminer la richesse et la diversité des liens qui se tissent entre une marque et un consommateur,

    . Nos travaux sur la communication non-verbale (VideoEtude) appliqués à des tests d'idées ou de produits nous font rentrer dans une nouvelle dimension de la réaction du consommateur : que se passe-t-il avant que celui-ci n'exprime son jugement ? L'accès à cette nouvelle temporalité se révèle être une source inédite de discrimination et de découverte des potentiels des offres testées,

    . Plus récemment, nous avons complété notre boîte à outil par une collaboration avec Gaël Allain de la société Mémoire&Marketing, pour intégrer dans notre offre la réalisation de tests implicites : il s'agit ici de mesurer l'impact d'un stimuli : quelles sont les représentations qui sont activées, de manière inconsciente et ou consciente, suite à la vision d'un stimuli ? Le principe des tests implicites est de ne pas interroger le consommateur mais de mesurer son temps de réponse lors d'une tâche "détournée" (par exemple, est-ce que je reconnais plus vite le mot "désir" lorsque je viens de voir le logo de la marque BMW ou lorsque je viens de voir le logo de la marque Audi ?)   

    Nos premières utilisations des tests implicites ont été conduites avec Pierrick Rivière de Danone Research sur des tests de packaging, et ont été présentés au Printemps des Etudes. Vous en trouverez ci-après une version expurgée des résultats de Danone Research, et complétée des résultats d'un pilote mené à Repères sur le lien entre différentes marques concurrentes et des émotions de base (désir, joie, tristesse, honte, méfiance ...). Dans les deux protocoles, l'apport de la mesure implicite s'est avéré très riche et complémentaire du questionnement explicite.

    Vous pouvez nous contacter pour une présentation plus détaillée de ces différents outils et résultats. 

     

     
      
    (Image de haut de page : The Economist)
  • Reperes est heureux de vous inviter au Printemps des Etudes, les 5 et 6 avril 2012 au Palais Brongniart à Paris

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    printemps_visuel-03.gif

    Le Printemps des Etudes est le nouvel événement annuel des Etudes Marketing et Opinion, créé à l’initiative d’acteurs de la profession regroupés dans le collectif Recréation, et soutenu par les principales associations du secteur (Adetem, Esomar, Irep, Syntec Etudes Marketing & Opinion, UDA).

    Le parti pris de l’évènement est de placer le contenu et la valeur ajoutée pour les visiteurs au cœur du dispositif, avec notamment un programme de conférences, retours d’expérience, rendez-vous exposants, validé par un comité de programme associant annonceurs, instituts d’études, associations interprofessionnelles, chercheurs.

    Repères a été très impliqué dans la création de cet évènement et nous aurons grand plaisir à vous rencontrer à cette occasion sur notre stand, ou bien lors d’une de nos prises de parole :

    . Jeudi 5 avril à 11 h30, cas client avec Danone Research et Mémoire & Marketing : Les tests implicites : une mesure d’impact au-delà du déclaratif

    . Jeudi 5 avril à 16h30, présentation avec le Synafap des résultats d’une étude quali /quanti : Quel argumentaire pour les GMS pour développer les produits traiteurs frais ?

    . Vendredi 6 avril à 16h30, nous participons avec TNS Sofres et Actfuture.com à l’atelier flash benchmark (plénière) : Marque et Emotion : comment accéder à la valeur émotionnelle de la marque ?

    Les prises de parole sont accessibles sur inscription préalable sur le site www.printemps-etudes.com, où vous pourrez obtenir votre badge d’accès.

    En vous souhaitant un très beau Printemps !

  • AgroParisTech et Repères obtiennent un financement pour une recherche sur la communication non-verbale

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    logo ANR.gifL'Agence Nationale de la Recherche (ANR) a sélectionné et financé 7 projets dans le cadre du programme ALID Systèmes Alimentaires Durables - 2011.

    Parmi ceux-ci, le programme DIACODD (Distribution Alimentaire, Consommateurs et Développement Durable) vise à observer et d’analyser la dyade distributeurs/ consommateurs et de conceptualiser et mesurer son influence dans le développement d’une demande d’alimentation durable (Cf la fiche du programme sur le site de l'ANR)

    DIACODD est un projet collaboratif d'une durée de quatre années qui associe les écoles et universités suivantes : UPEC (Université Paris-Est Créteil), Université Rennes 1, ESDES (Ecole de Management de Lyon) et AgroParisTech (Institut des sciences et industries du vivant et de l'environnement).

    Parmi les questions soulevées dans ce projet se pose la capacité des outils de mesure actuels à appréhender la réponse du consommateur face à des propositions ayant trait au développement durable. Il est en effet à craindre que dans ce domaine, la désirabilité sociale biaise significativement les réponses.

    Un partenariat entre AgroParisTech et Repères a donc été intégré à ce programme : il s'agira de développer et si possible breveter un outil de mesure non-verbale des perceptions à des stimulis conceptuels.

    Le financement ANR nous permettra de mener différentes expérimentations en ce sens et de bénéficier d'un thésard dédié à ce programme.

    Cette recherche vient en parfait complément des travaux déjà menés par Repères dans les domaines des sniff-tests et des tests de goût. 

    A suivre ...


    Contacts : 

    Pour AgroParisTech : Patricia Gurviez

    Pour Repères : François Abiven et Franck Saunier


  • Repères agréé comme sous-traitant éligible au Crédit Impôt Recherche

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    CIR_205085.34.jpgNous avons le plaisir d'avoir été reconnus par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche comme sous-traitant éligible au Crédit d’Impôt Recherche. Cet agrément valide le fait que Repères dispose d’un potentiel de R&D suffisant pour être prestataire dans ce domaine pour le compte de tiers.

    Concrètement cela implique qu’une entreprise ayant recours aux services de Repères dans le cadre d’un projet de Recherche et Développement  éligible au CIR pourra bénéficier d’une réduction d’impôt sur cette prestation (jusqu’à 30% de réduction).

    N'hésitez pas à nous contacter pour plus d'informations sur ce sujet.

    Guide du crédit impôt recherche 2011